La Paléontologie, une science qui se fossilise...?
chercheur,
Institut international du Paléozoïque.

La paléontologie est une science relativement jeune d'à peine 150 ans. En 1930, l'âge de la terre a
été 1 milliard d'années, en 1950, à 2,3 milliards et en 1995, l'ensemble de la communauté scientifique
estimait qu'elle avait 4,6 milliards d'années. Si nous admettons 4,6 milliards, alors 90 % de l'histoire
de la terre se situerait avant 600 millions d'années. Comme la paléontologie s'est faite une certaine idée de la
préhistoire qu'à partir d'environ 400 millions d'années par l'étude des fossiles qui représentent moins de 1 %
des espèces qui ont vécu, nous savons peu de l'histoire de la vie sur la terre ( fig.1 ). Il y a beaucoup
de place pour les découvertes. Les pierres pouvant contenir des fossiles avant 500 millions d'années sont
généralement métamorphisées, c'est-à-dire qu'elles sont transformées et si elles contenaient des fossiles, ils deviennent
difficiles à voir. De plus, ce n'est pas tous les animaux qui se fossilisent, il faut qu'ils soient dans un milieu où les
conditions s'y prêtent. La majorité des paléontologues ne croit pas que l'on puisse trouver des fossiles
de vertébrés à ces périodes géologiques et ils n'en cherchent pas. Mais comment peut-on trouver des preuves
de vertébrés ou de vie avant 600 millions d'années si nous ne trouvons pas d'os se demandent-ils ?
Il reste la paléo-ichnologie comme solution ( étude des empreintes fossiles ) et même là, les difficultés
sont énormes. Tout d'abord, nous ne connaissons pas la forme des animaux de la préhistoire et par conséquent,
il est difficile de connaître leurs empreintes. De plus, cette science est en train de se structurer et la première
méthodologie des études d'empreintes fossiles a été publiée en 1989, suite au 1er Symposium international
sur les empreintes qui s'est tenu au Nouveau-Mexique en mai 1986. C'est le Dr Sarjeant ( University
of Saskatoon ) qui a proposé d'ouvrir le débat.
 fig. 1
Les pays du monde industrialisé ont daté les grandes formations rocheuses pour faciliter la recherche des mines de charbon,
d'or, etc. Prenons un exemple pour mieux comprendre. Si nous voulons trouver du charbon, il faut aller dans les régions
des Maritimes parce que la pierre date de 300 millions d'années et si nous voulons trouver de l'or, il faut aller
dans les régions de Montauban ou en Abitibi, où les roches ont 800 à 1,5 milliard d'années. Donc si vous voulez
connaître l'âge des formations rocheuses près de chez vous, il suffit de vous procurer un rapport géologique de votre région
au Ministère des Ressources Naturelles du Québec.
Pour la paléontologie, la datation des grandes formations rocheuses n'est pas suffisante. En effet, chaque grande formation
se subdivise en sous-formations appelées "membres". La paléontologie étant une science fondamentale, donc pas rentable
électoralement parlant, les fonds de recherche furent coupés. Des scientifiques ingénieux ont pensé se servir
des tableaux fossiles pour dater les couches géologiques lors des forages, ce qui leur évitait de faire des datations géologiques.
Cette pratique est devenue tellement courante que la majorité des paléontologues se servent de ces références comme
étant des faits précis. Dans le rapport géologique de la région de Trois-Rivières à la page 33,
nous pouvons lire : " ... les 4 espèces de fossiles mentionnées ci-haut n'ont pas été trouvées au-dessus
ni au-dessous, il est logique d'attribuer un âge Rockland ( 460 millions d'années ) à ces lits
du Fontaine". Dans ce rapport nous nous basons donc sur l'âge présumé de fossiles connus, dans ce cas-ci
460 millions d'années, pour dater la formation géologique du Fontaine. À l'inverse, un paléontologue d'un
site fossilifère bien connu donnait ainsi son avis sur une pièce fossile : "Si la pièce provient d'une formation
rocheuse de 100 millions d'années, votre identification est correcte". Comment doit-on comprendre cette réponse ?
En se servant de de l'âge des pierres pour dater les fossiles et de celui des fossiles pour dater les pierres, les paléontologues
ont beau jeu de s'accrocher aux datations déjà établies par eux-mêmes et de rejeter comme "faux fossiles" (!) les pièces
dérangeantes. Ne devraient-ils pas, conformément à la méthode scientifique, se demander d'abord s'il s'agit d'un fossile ?
Et si oui, le bon sens ne commande-t-il pas d'accepter que le fossile a l'âge de la pierre où il a été trouvé en s'assurant
qu'il vient bien de la formation rocheuse en question. Il est vraiment curieux que dans les musées tel que Redpath
à McGill, nous y trouvons une section pour les "faux fossiles". Créer une section de "faux fossiles" ne confère-t-il pas
un certain statut d'authenticité aux pièces dérangeantes ? Par exemple, déclarer comme "faux fossile"
une pièce ressemblant à un fossile de 100 millions d'années, mais trouvée dans une formation rocheuse
de 350 millions ne traduit-il pas un refus pur et simple de considérer un fait nouveau comme la science le
commande ? On n'est plus au 17e siècle pour qualifier sans analyse sérieuse de "jeux de la nature"
tout fossile dérangeant. Il serait sûrement intéressant de faire un tableau des espèces avec tous ces "faux fossiles",
nous serions très surpris.
Le deuxième problème de la paléontologie, c'est le Dr Michael Denton directeur de recherche génétique humaine
de Sydney en Australie qui soulève "un os" important face au classement des fossiles proposés par les paléontologues.
Il écrit dans "Évolution une théorie en crise" publié par Flammarion, que 99 % de la personnalité d'un organisme
se trouve dans les parties molles ( peau, muscles, viscères, nerfs... ). Or ces parties molles n'existent plus
dans les fossiles. Prenons l'exemple que Denton propose. Imaginons que tous les marsupiaux soient disparus de la terre
et que les seuls éléments dont nous disposons pour les étudier soient leur squelette. Pourrions-nous deviner que chez
eux leur processus de gestation soit biologiquement différent de celui que l'on connaît chez les mammifères ?
Comment classerions-nous les kangourous ?
Denton met en évidence un autre point important du classement des espèces. On sait que la différence entre un amphibien
et un reptile réside dans leur système reproducteur. Les amphibiens pondent leurs oeufs dans l'eau et leurs larves subissent
une métamorphose complexe avant d'atteindre leur stade adulte ( comme les têtards ). Les reptiles se
développent à l'intérieur d'un oeuf à coquille rigide et sont des images parfaites de l'adulte au moment de l'éclosion.
Le point important est que les seules caractéristiques du squelette sont insuffisantes pour attribuer à un organisme
ou une espèce particulière la qualité d'intermédiaire.
Prenons l'exemple de l'eusthenopteron, l'ancêtre du coelacanthe ( fig.2 ). Beaucoup prétendent
que l'eusthenopteron serait l'ancêtre des amphibiens, des reptiles et le nôtre. Ils nous donnent comme argument
que le nombre et l'organisation des os des nageoires avant seraient la confirmation de leurs énoncés ( fig.3 ).
Comme Denton nous fait observer dans ses écrits, pourquoi ne se sert-on pas des nageoires arrière ou d'autres éléments
de l'eusthenopteron pour appuyer l'hypothèse ? La raison est très simple: rien d'autre ne ressemble aux amphibiens
et encore moins les tissus mous. Nous considérons cette hypothèse aussi valable que si nous disions : tu as le
nez fait comme celui du voisin, donc tu es son frère. Le fait d'avoir une ressemblance dans les articulations des animaux
est plutôt dû à la mécanique des os, étant donné que les mouvements sont semblables. Il n'y a pas trente-six façons
de concevoir des pièces mécaniques qui s'articulent. Pour ce qui est de l'eusthenopteron ( 390 millions
d'années ), nous avons maintenant des preuves qu'il y avait des amphibiens avant l'eusthenopteron puisque
des chercheurs en Australie viennent d'annoncer des empreintes d'amphibiens ( tetrapodes )
à 420-450 millions d'années. Nous avons aussi trouvé des empreintes de reptiles avant cette
période ( fig.4 ).
 Fig.2
 Fig.3
Fig.4
La paléontologie a tendance à imposer un âge d'apparition aux fossiles. Le fait de trouver un spécimen fossile à telle
période géologique ne signifie pas que ce spécimen est apparu à cette même période. Tout ce que l'on peut en dire,
c'est qu'il existait à cette période.
De plus, le fait de ne pas trouver des animaux terrestres à 460 millions d'années n'est pas une preuve
qu'il n'y avait pas d'animaux terrestres. Tout ce que l'on peut dire, c'est qu'on n'en a pas trouvé. On ne peut pas dire qu'il y en a
pas non plus et c'est là la différence entre le vrai chercheur qui garde l'esprit ouvert et celui qui croit qu'il n'y en a pas.
Dans ce dernier cas, il ne cherchera jamais la preuve, puisqu'il croit fermement qu'il n'y en a pas et malheureusement,
c'est le problème de trop de paléontologues qui ont établi des théories et des tableaux croyant à l'évolution et on se limite
à chercher seulement ce que l'on croit trouver. Comme en anthropologie, les chercheurs en général cherchent tous en
Afrique parce qu'ils croient que l'homme vient de l'Afrique.
Il existe beaucoup de théories concernant l'histoire de la vie sur terre. Philippe Janvier paléontologue écrit :
"L'université est majoritairement darwinienne, c'est bien simple quiconque voudrait faire des recherches néo-lamarkiennes
n'aurait aucun crédit". Ce même paléontologue classe souvent les gens qui ne sont pas darwiniens dans la catégorie
des créationnistes. Un paléontologue américain, Stephen Jay Gould parle plutôt de soubresauts et d'accidents
quand il parle de l'apparition des espèces. Même d'autres ont amené des perceptions qui semblent farfelues à prime
abord. Nous pouvons penser à la théorie que les dinosaures seraient disparus dû à une épidémie du sida. À ce propos,
beaucoup croient à la théorie du météorite. Le Dr Robert Baker du Colorado remet cette hypothèse en question.
Son principal argument est que si les dinosaures sont disparus dû aux changements de température, pourquoi les
autres animaux, comme les mammifères, ont-ils survécu ?
Pour bien comprendre les différentes théories, il serait bon de les voir graphiquement.
Quand on regarde l'histoire de la paléontologie, par exemple dans les tableaux schématiques
de 1897 ( fig.5 ) et de 1995 ( fig.6 ), soit cent ans de différence, nous nous
apercevons que l'arrivée des principales lignées n'a pas beaucoup changé. De nouvelles espèces sont apparues mais
dans les deux cas, on sent le besoin de tendre vers l'origine unique conformément à une croyance
( voir lignes gris pâle ).
Fig.5
|
 Fig.6
|
Stephen Jay Gould présente le même genre de tableau, mais propose une explosion de vie ( Big Bang )
à la période de 590 millions d'années. Ce qui fait la différence entre sa théorie et celle des darwiniens - qui
proposent une diversité croissante et progressive ( fig.7 ) quand les contextes de l'environnement
ont permis le développement de la vie -, c'est que Gould préconise une diversification par soubresauts
( fig.8 ) et presqu'instantanée au Cambrien entre 590-505 millions d'années.
Fig.7
|
Fig.8
|
Nous observons dans les tableaux de 1897 ( fig.5 ) et 1995 ( fig.6 ),
qu'il s'est ajouté d'autres lignées parallèles d'espèces et plus longues dans le temps. Est-ce que ces lignées parallèles
devraient aller plus avant ? Autrement dit les lignes pâles tendant vers l'unité ne rendent compte que d'une théorie.
On pourrait aussi bien envisager un parallélisme continu. Si on prolonge ces lignes parallèles ( fig.10 ),
cela présuppose qu'il ne faut plus parler de monogénisme ( une cellule d'origine ) mais plutôt de
polygénisme ( plusieurs cellules d'origine ).
 Fig.10
Pour notre part, ce qui nous dérange, c'est l'espèce de formule parfaite et exclusive de chacune des théories. Nous
pensons qu'il y a eu des espèces qui ont évolué, comme Darwin le mentionne, et des espèces qui sont apparues par
accident et ont évolué par soubresauts ( fig.9 ).
 Fig.9
Cette idée de polygénisme va sûrement provoquer un effet de révolte pour la majorité des scientifiques. Il faut comprendre
que la communauté a comme base de référence de recherche, le monogénisme.Tous leurs travaux sont à remettre
en question si on se place d'un point de vue polygéniste. Du point de vue de l'histoire des sciences, on peut se demander
quelle a été l'influence des religions sur la paléontologie ? On n'a pas à reculer très loin pour voir une influence importante.
Pensons à l'encyclique Humani Generis du Pape Pie XI publié en 1950 qui soutient le monogénisme. Le monogénisme
crée des problèmes quand on pense génétique. Au début de la vie il était sûrement essentiel qu'elle fut diversifiée
et forte. Par analogie, pensons aux résultats des mariages cosanguins.
Depuis les années soixante surtout, nous savons que tout est interelié dans l'environnement. Si les baleines
disparaissaient, l'homme serait en danger. Voilà pouquoi il faut tenir compte de ces nouveaux éléments. Imaginons
l'hypothèse suivante de l'apparition de la vie dans une optique de polygénisme : les contextes environnementaux
( air, température, etc. ) deviennent en condition parfaite pour le développement d'une cellule. Si ces conditions
sont parfaites en Afrique, elles sont aussi parfaites en Asie et tout autour de la terre dans le même
corridor ( fig.11 ). Donc le même genre de cellules se serait développé en même temps
à plusieurs endroits. Comme les conditions sont semblables, il est normal qu'il se soit développé des ensembles
de vie semblables, et sur ce point je rejoindrais Stephen Jay Gould. Plusieurs explosions de vie se seraient produites
tout au long de l'histoire de la vie sur terre. Ce qui vient expliquer que les contextes environnementaux permettent la vie
à des espèces semblables et beaucoup de groupes différents dû à des variations de différents éléments, c'est-à-dire que
un peu plus au nord ou un peu plus au sud ( fig.12 ), les contextes étant moins parfaits si on peut dire,
il se serait développé des formes de vie différentes selon des corridors. Bien sûr il s'agit d'exemples caricaturaux pour illustrer
l'hypothèse succintement. L'homme serait aussi issu du polygénisme. Naturellement, la majorité des anthropologues
y verront un sacrilège mais les dernières découvertes concernant l'histoire de l'homme, semblent démontrer cette théorie.
Nous sommes de plus en plus convaincus que l'homme vient de plusieurs lignées.
 Fig.11 |
 Fig.12 |
 Fig.13
Nous pensons que des espèces sont apparues et disparues, et d'autres ont cessé d'évoluer. On peut penser au
Kiwi ( oiseau ) dont on dit que les ailes sont atrophiées mais pourquoi ça ne serait pas plutôt qu'il a arrêté
d'évoluer ? La sagesse ne consisterait-elle pas à rester ouvert à toutes les théories à la lumière des faits nouveaux.
En tenant compte des tableaux d'évolution des espèces qu'on nous propose, il faut ajouter les nouvelles données
qui nous viennent de l'étude récente des empreintes et des soi-disant faux fossiles, nous obtiendrions alors un tableau très
différent de celui proposé par la science officielle.
Serions-nous amené à reconsidérer le début de l'origine de la vie ...( fig.14 ).

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Revue Dialogue Scientifique ... vol. 1, no: 2, décembre 1995
Publiée par la Société Scientifique Parallèle inc..
ISSN 1195-9967
Publié sur ce site avec l'accord de l'auteur, M. Yvon Leclerc.
Adresse originale :
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Site : http://www.geocities.com/CollegePark/Union/3039/0.html
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