Arguments pour
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A partir des années 70, plusieurs chercheurs pensaient
avoir décelé des inscriptions autour du visage du Linceul.
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A partir des symboles déchiffrés et des abréviations, on peut
y lire :
Notre faussaire médiéval est décidément bien facétieux, non seulement il avait une parfaite connaissance de l'écriture antique mais en plus il s'est même donné la peine d'écrire sur le Linceul des lettres invisibles au moyen-âge pour que ce soit nos scientifiques du XXe siècle qui puissent les lire.
L'homme du Linceul, identifié comme étant de type sémite ou yéménite
archaïque, porte une coiffure correspondant à celle des juifs de l'antiquité
ayant fait le voeu du nazireat.
Il est enseveli
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Plusieurs chercheurs pensent avoir découvert un renflement au niveau des yeux qui s'expliquerait par la présence, selon la coutume juive, d'une pièce de monnaie, pour fermer les yeux du défunt. Ces marques faibles seraient dues à des leptons, frappés sous le gouvernement de Ponce-Pilate. |
Cette fois notre faussaire du moyen-âge nous fait une démonstration éblouissante de ses connaissances des us et coutumes de la Palestine au début de notre ère, ce qui n'est pas vraiment en adéquation avec le savoir du moyen-âge.
Des chirurgiens ont étudié en détail le Linceul et ont pu mettre en évidence de nombreux éléments particulièrement précis sur les blessures qu'a subies l'homme du Linceul âgé entre 30 et 35 ans, qui mesurait entre 1,78 et 1,81 mètre et pesait entre 77 et 80 kg.
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Du front jusqu'à la nuque, de nombreuses marques
correspondent aux blessures infligées par l'enfoncement d'un véritable
bonnet d'épines.
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L'homme porte les marques de 120 coups d'un flagrum romain ( fouet dont les extrémités sont lestées par un plomb ou un osselet ) selon deux directions, ce qui implique la présence de 2 bourreaux qui ont infligé un supplice romain puisque la loi juive limitait la flagellation à 40 coups. |
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L'homme a été crucifié avec 3 clous, 1 tenait
les deux pieds
superposés et les 2 autres les poignets, dans l'espace de Destot qui assure
une prise solide sans hémorragie et non dans la paume de
la main comme sur la plupart des représentations de la crucifixion.
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La crucifixion entraînait la mort par asphyxie.
L'homme étant suspendu par les poignets commence à étouffer à cause de
l'immobilisation des côtes gênant la respiration.
Le supplicié se relève de temps en temps en prenant appui sur ses
pieds cloués jusqu'à ce que la douleur soit trop forte.
Le corps prend donc deux positions, l'une basse, l'autre haute et sur le Linceul
les deux écoulements sanguins correspondants ont été identifiés selon des
angles de 65° et 55°.
Lorsque le supplicié demeurait en vie trop longtemps, l'usage
voulait qu'on lui brise les jambes pour accélérer l'asphyxie.
Pour le personnage du Linceul, cette mesure ne fut pas nécessaire.
La mort du condamné fut vérifiée par le centurion romain en lui enfonçant
son pilum dans le côté droit selon l'habitude de l'escrime romaine.
La plaie sur le Linceul est bien de la dimension d'une lancea romaine.
La blessure est restée béante, preuve que c'est une blessure post-mortem.
L'écoulement du sang et de l'eau de la plèvre s'est fait verticalement et
s'est poursuivi alors que le corps était à l'horizontale.
Le faussaire nous fait une démonstration supplémentaire de ses connaissances extraordinaires, cette fois en anatomie !
Description du Linceul Historique du Linceul Le Linceul est un faux
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